Entre Chimie et Romance, quelle est la meilleure formule de l’amour pour toi?
Chimie ! C’est elle qui m’a permis de rencontrer Grand Chef et côté romance, on n’a pas fait dans l’originalité : nouvelle arrivante et étudiant de la promotion précédente.
Sinon sérieusement, je dirais que la meilleure formule de l’amour est celle qui est exothermique (dégagement de chaleur), ne nécessite pas de catalyseur (se fait donc naturellement et sans artifice) et a un rendement proche de 100% (les deux partenaires doivent être totalement impliqués, sinon cela n’a pas d’intérêt).
16 livres parus .... Combien en caches-tu dans ton ordi ?
Beaucoup, et dans ma tête c’est encore pire ! Des chiffres ?
Alors commençons par mes débuts :
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une petite centaine de fanfictions qui ne sont plus disponibles sur Internet pour des raisons de ras-le-bol face à la malveillance de certains (je peux être patiente, mais j’ai saturé l’été dernier et tout supprimé) ;
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ensuite mes 16 livres parus ;
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2 livres qui ont été refusés, mais remaniés et acceptés (par exemple, Avec toi, je suis moi, HQN) ;
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1 livre qui ne va pas tarder (Irish Therapy, new adult, sortie prévue le 1er juillet 2020 chez HQN) ;
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6 manuscrits terminés dont un sous contrat et un autre en soumission ;
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2 commencés, mais mis en pause pour différentes raisons ;
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1 en cours (la version longue de Batman n’a pas que de grandes oreilles, une nouvelle écrite pendant le confinement avec l’aide de lectrices).
Tu dis que tu prends plein de notes: alors tu es adepte du carnet papier ou de ton téléphone ?
Mon rêve serait d’ordonner correctement mes idées. Avoir un beau calepin dans mon sac qui contiendrait mes réflexions. J’y collerai des photos, dessinerai des endroits, des tenues…
Seulement je suis du genre à courir partout, à oublier où se trouve mon portable et à avoir THE idée au moment le plus improbable. Du coup, je note souvent sur mon téléphone parce qu’il reste l’objet le plus constant dans mon quotidien, mais il y a aussi des tickets de caisse, des morceaux de papier… et (honte sur moi !) sur des dessins de mes monstres.
À choisir : plutôt fondant comme Marie ou mojito comme Fanny?
Plutôt coca-fraise (comment ça, ce n’était pas un des choix proposés ?).
Pour tout avouer, je ne mange pas de chocolat et ne bois pas d’alcool (genre jamais de ma vie et au-delà)… Difficile de me retrouver dans l’un d’eux.
En revanche, mon coca-fraise, c’est une histoire d’amour qui dure depuis longtemps. Pour moi, elle est réconfortante comme une vieille amie sur qui tu peux toujours compter, pétillante de bonne humeur et d’énergie. Sans parler de tous les souvenirs qui lui sont lié.