Il ne croit plus en rien, elle ne croit plus qu’en lui.

Il a renoncé à les défendre, elle ne vit que pour les aider.

Élon Cupidon, avocat chez Campbell & Partners, n’a plus d’illusions. Ses efforts pour les défendre sont du temps perdu, les humains ne veulent pas évoluer. Alors quand Sienna Fields s’introduit dans son bureau pour le supplier de prendre une nouvelle affaire, la première réaction de l’ange n’est pas celle que la jeune assistante sociale espérait…

Et si Sienna était la clé pour lui redonner la force de continuer ?

Après avoir lu Éros et Caleb, j’étais vraiment intriguée par Elon le cynique, celui qui ne croit pas en l’humanité, et qui vit sa vie sans s’attacher.

La fratrie et l’univers que propose Estelle Every me plait toujours autant, c’est donc avec plaisir que j’ai remis mes ailes pour retourner à Los Angeles.

 Sienna est déterminée à aider  ceux qui en ont le plus besoin, elle n’est pas assistante sociale pour rien. J’ai vraiment apprécié son personnage, très déterminé, bienveillante avec quelques fêlures (et secrets), je n’en dévoile pas trop car il y a vraiment besoin de découvrir au fil des pages.

J’avais hâte de découvrir Elon, bon je vous passe sa beauté angélique (soupir), ce coté distancié, un peu désabusé qui fuit le contact et l’attachement.

J’ai apprécié comment l’auteure nous propose de le découvrir, en même temps que lui même finalement, j’ai toute fois trouvé qu’il perdait un peu vite son cynisme... mais cela est sûrement dû à sa vitesse angélique. Les échanges entre Sienna et Elon sont assez piquants et amusants, et leur couple est attachant.

On retrouve bien entendu la fratrie, et les blagues d’Eros sont toujours un plaisir. 

Cependant, je me suis un peu laissée distraire par l’intrigue, j’ai eu un peu de mal à re situer les oubliés, Freya, le contexte de départ, et cela a finalement été assez vite dans la « résolution ».

C’est un tome médiant, qui m’a un peu moins emporté que les précédents, (bon je l’ai lu en 2 jours seulement quand même) le prochain tome (Andreas) laisse entrevoir de sacrés échanges, et j’attends  le tome de Côme avec impatience.